A MAIN ARMEE.
Je n'suis qu'une perdu de plus parmi tous ces gens,
une âme aux regard détruit, perdu de tous ses rangs,
L'Homme à créé cette haine qui nous a tous rendu fous,
Folie générale, tout l'monde en parle,personne n'en vient à bout,
Encore un projet d'vie qui n'aura pas aboutit,
j'ai peur du coup, j'en perds tout ce que j'ai batit,
le monde qui m'entoure m'étouffe,
les colombes sont devenues noir, ,j'en souffre,
vagabondant de vie en vie,
je ne sais plus laquel j'ai choisie,
les mains froides, le coeur chaud,
brûler en cendres par les mots de ses faux...
refrain :
Et ce gun dans mes mains,
j'sais plus quoi faire pour mon lend'main,
Se canon sur ma tempe,
j'sais plus quoi faire pour r'monter la pente,
Pression sur la gachette...
Nouvelle vie, j'me rachette ...
Je suis la solitaire, seule parmi les miens,
seule ,perdue au milieu de rien,
Bouffer par l'évolution de la connerie humaine,
brûler par l'évasion qui me mène,
Oui, j'ai fumer a en mourir,
pendant que vous avez cru que ces toxicos me fesaient rire,
j'ai bu a ateindre les comas,
pendant que vous m'avez cru les mains sur une croix,
J'me suis envoler au pays des 7feuilles,
lorsque vous m'avez cru en deuil,
Je me suis perdu dans vos souci,
mon passé, mon présent, vous les avez maudits,
les mains froides, le coeur chauds,
brûler en cendre par les mots de ses faux...
{refrain}
Loins des adultes , insouciante et fonçante,
la vie m'aprends plus que n'importe quel Hommes,
j'me mefient de vous comme des hommes en bleus,
Adultes en uniformes, uniformiser contre la jeunesse libre,
pour vous la liberter équivaut a une connerie meurtrière,
faut penser a évoluer ,la jeunesse vous perds,
C'est quand le destin me cours aprés que j'suis bien,
et pas l'inverse, controverse pour la liberté des miens,
Moi j'suis libre que quand j'cours sans savoir ou j'vais,
aucun d'mes potes n'a jamais voulu m'suivre,tous uniformiser,
merde! moi j'ai 15piges, l'uniforme me ratrape a grand pas,
encore un traitre, qui m'a vendu pour une barettes de chocolat,
les mains froides, le coeur chauds,
brûler en cendre par les mots de ses faux...
{refrain}